14-18NEXANSJOURNAL

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REVUE DE PRESSE


ARTICLE DE L'UNION DU 3 AVRIL 2010

http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/nexans-chauny-vires-mais-dignes#comments

06/08/2011
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BONNE LECTURE !!!

Merci  a Ghislain De m' avoir envoyé ce lien

      http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/ex-nexans-la-direction-reste-confiante

                                              BONNE LECTURE ET MERCI A EUX!!! POUR NOTRE AVENIR

                                                               DIDIER
PS

CLIQUE SUR CONTRIBUTION AU DESSUS DE L IMAGE POUR VOIR LE COMMENTAIRE

03/07/2011
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ARTICLE DE L UNION DU 16 MARS 2011

La bataille n'est pas finie pour le blog des Nexans

Publié le mercredi 16 mars 2011 à 11H00

Didier Mahu et Ghislain Alliaume ne comptent pas arrêter le blog.

Didier Mahu et Ghislain Alliaume ne comptent pas arrêter le blog.

CHAUNY (Aisne) Créé il y a un an et demi, un blog retrace l'épopée des Nexans,  des manifs au démantèlement de l'usine.  Une façon de perpétuer  la mémoire du site tout  en soulignant  la colère encore présente.

AU départ, ce devait être un lieu de solidarité et de soutien aux salariés de Nexans licenciés. Au final, le blog de soutien est devenu un lien indispensable pour les 220 salariés, avec photos, textes et vidéos, permettant à chacun de garder le contact. « Au début, c'était les manifs, le combat que nous menions sur le terrain. Aujourd'hui, c'est l'histoire du site et son démantèlement, machine par machine, morceau par morceau qui est raconté », annoncent Didier Mahu et Ghislain Alliaume, les deux créateurs de 14-18 Nexans le journal. 14-18 font référence à la Première Guerre mondiale période qu'affectionne Didier et puis Nexans et journal parlent d'eux-mêmes. « C'était notre guerre, notre combat. »
Plus d'un an après la fin des « hostilités », le portail est toujours actif. En moyenne, soixante-dix visites sont enregistrées les jours de semaines et cent cinquante, le week-end. Depuis son ouverture, 35 000 visites ont été recensées. « Pour nous, c'est une forme de reconnaissance, un encouragement à poursuivre pour raconter le site, ce qu'il était avant nous, avec nous et ce qu'il sera après », indiquent les deux hommes.


Pincement au cœur


Ces pages de photos et de textes permettent à beaucoup de garder le lien avec une réalité qui était la leur, il y a encore un an. « Certains ne veulent plus remettre les pieds à l'usine ça leur fait trop mal au cœur. Il faut dire que tout est vide, tout a été enlevé et certaines machines ont été découpées au chalumeau, c'est dur de voir ça, quand même, surtout lorsque l'on a travaillé dans l'atelier pendant plus de 20 ans », ajoute Didier Mahu.
Derrière cette nostalgie, il y a, aussi, une certaine rage qui est encore palpable. Dans ces moments-là, le blog devient un moyen de se lâcher un peu. « Tout cela restera une blessure car nous avions du boulot, et des machines sont parties dans d'autres usines, s'ajoutant à la production existante. Ce qu'ils font à Lens, en Norvège ou en Angleterre, nous aurions pu le faire. Le blog, c'est aussi pour dire que nous ne pouvons rester silencieux après tout ça », reprend Ghislain.


Les deux hommes sont conscients que les heures passées devant leur ordinateur sont utiles à d'autres qui, comme eux, s'accrochent aux souvenirs, faute d'une réalité toute rose.
Si le site est encore fréquenté, Didier a remarqué que les commentaires sont moins nombreux, « ce n'est pas que ça me manque mais les commentaires nous encouragent ».
Commentaires ou pas, les deux hommes comptent bien poursuivre leur œuvre d'autant qu'il leur reste de quoi alimenter le blog pendant plusieurs mois encore.
Samuel PARGNEAUX
spargneaux@journal-lunion.fr


16/03/2011
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UNE FIN DE COMBAT DIGNE POUR QUI ???

Jeudi 31 décembre 2009 4 31 /12 /2009 12:31

Agrandir la photo

Les prochains mois, des salariés seront affectés au nettoyage de l'usine et au démontage des machines.

La fumée noire qui survolait Chauny depuis trois mois a disparu avec la fin de l'occupation de l'usine Nexans par les 220 salariés licenciés. Jeudi, à midi, le syndicaliste David Quillet a remis les

clés du site au directeur Jean Federspiel, non sans avoir quelques palpitations au cœur de quitter une entreprise qui a donné de l'emploi et un statut social à des milliers de Chaunois depuis 1922 et qui était de loin la plus performante dans son secteur d'activité en Europe. La prime de sortie de 65 000 euros obtenus mercredi soir ne réussira pas à masquer un immense gâchis humain.

 

Jeudi matin, la nouvelle se répandait comme une traînée de poudre sur le marché aux légumes de Chauny : « ça y est, c'est fini, après trois mois et demi de conflit. Les Nexans rendent ce midi les clés de l'entreprise au patron, ils réveillonneront chez eux, en famille ». L'information était confirmée par trois salariés licenciés Christian Fiévet, 56 ans, Jean-Louis Delanchy, 41 ans, et Patrick Marat, 44 ans, dont l'épouse Cathy, tient un stand de fleurs.
Christian, qui est arrivé à Chauny en septembre 1984 suite à un dégraissage chez Nexans à Rouen, sait que ce nouveau départ forcé met fin à sa carrière professionnelle. Avec les mesures d'accompagnement promises par Nexans France et obtenues dans le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), il va prendre une retraite anticipée : « je serai là pour ma famille, mes petits-enfants et je continuerai à jouer de la musique au sein des Cocardiers ».

Reclassements délicats

Pour Patrick et Jean-Louis, retrouver un travail sera une « autre paire de manches » comme ils le confessaient sur le marché. Ce ne sont pas les indemnités conventionnelles et la supra légale de
65 000 euros qui les nourrira dans les années à venir. « Nous réfléchissons avec mon épouse pour prendre un magasin plus grand mais il faudra dans ce cas embaucher du personnel. J'avoue que je ne sais pas encore ce que je vais faire » expliquait Patrick. Jean-Louis compte bien retrouver un emploi dans la région : « je vais utiliser toutes les ficelles possibles en interne, avec la cellule de reclassement, et en externe.
Mais dans quelle branche ? Je ne peux pas vous dire pour le moment. Ce que je sais, c'est que je dois payer les traites de ma maison à Bichancourt ».
Jeudi midi, les Nexans avaient déserté le site, David Quillet et son collègue Jean-Pierre Magerand étaient bien les seuls à discuter encore devant la grille : « il fallait que ça se termine. Nous pensons avoir mené un combat digne ».
    

INDEMNITES ET MESURES D'ACCOMPAGNEMENT

Les ultimes négociations avec la direction, mercredi soir dans les locaux de la direction départementale du travail et de l'emploi, se sont poursuivies jusqu'à 22 h 30.
Elles ont débouché sur : une supra-légale de 65 000 euros pour les salariés nés en 1957 et après. Les moins de 30 ans auront la même somme. Les salariés nés en 50, 51, 52 et 53 toucheront 1 500 euros/mois pendant les deux prochaines années et les employés nés en 54, 55 et 56 3 000 euros, en venant nettoyer l'usine. Ceci afin de faire la jonction avec les 12 mois de congés reclassement obtenus et la période de chômage. La mutuelle santé sera prise en charge intégralement pendant deux ans. Nexans France a également prévu un budget formation de 850 000 euros (environ 6 000 euros par personne), l'argent qui ne sera pas dépensé ira dans un fond social pour aider les cas spécifiques : salariés en surendettement par exemple.
Le cabinet de reclassement AKSIS ouvrira à partir du 5 janvier, sur le site, un point information accueil. Les portes de l'usine devraient rouvrir le 4 janvier.
L'aisne nouvelle 
Par CGT PHILIPS EGP DREUX

 TROUVE CECI SUR LE NET LE 19/11/20010  MIS EN LIGNE SUR CE LOG PAR DIDIER

19/11/2010
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REPONSE POUR L' ARTICLE de L"UNION du 22 Septembre 2010

   BONJOUR 

JE ME SENT ATTAQUE PAR LES PROPOS DE CET ARTICLE 

MAIS POUR CE QUE TOUS LE MONDE VEUT PARLER

DE COMMEMORATION D' ANNIVERSSAIRE

 

 JE REPONDS UNE ENIEME FOIS CE N ETAIT  PAS UNE COMMEMORATION MAIS UN RASSEMBLEMENT  POUR RETOUVAILLES ENTRE COPAINS

MALHEUREUSEMENT UN VENDREDI ET LA LES COPAINS EN FORMATION OU LA SORTIE DES ECOLES POUR D AUTRES MAIS BIENSUR ON AURAIENT PUT ETRE BEAUCOUP PLUS NOMBREUX SANS LES DECISTEMENT DE CEUX QUI DISENT JE VIENS ET QU ILS NE VIENNENT PAS COMME POUR LES MANIFS PENDANT LES COMBATS

BREF LES SYNDICATS COMME DIT CET ARTICLE MAIS LA IL N Y A QU UNE PERSONNE QUI PARLE DANS CET ARTICLE

 NE SE SENT PAS CONCERNES POUR DES RETROUVAILLEES

 

PEUR DE PRENDRE EN PLEINES FACES TOUT HAUT PAR CERTAINS

CE QUE D AUTRE PENSENT TOUT BAS

 

ET LES ACQUIS QUI S EN VONT,  NOS ANCIENS DOIVENT SE RETOURNER DANS LEURS TOMBEAUX

A BIENTOT 55 ANS JE ME SENT ATTAQUE MAIS PAS FUYARD  

UNE PAROLE OU UNE EXPLICATION

 

 QUAND ON SE CROISENT DERRIERE LA COULEE SCCC  N ESCE PAS .................

 

         MAHU DIDER

22/09/2010
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